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Catégorie : Poésie
15 résultats affichés
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Chants pour une fleur (Alvie Mouzita, PRIX MILA DU LIVRE FRANCOPHONE 2023)
5 000 CFAAjouter au panierComme l’indique son titre, d’ailleurs clé pour ouvrir son mystère, « Chants pour une fleur » est un ouvrage greffé d’une musique rythmique où chaque mot qui roucoule tantôt comme une rivière tantôt comme un tam-tam ou une kora, confère aux cœurs la merveilleuse des émotions. Ici, Alvie Mouzita, ayant su que la femme est la source intarissable où s’abreuvent les inspirations perlières, s’est donc fait griot pour la psalmodier. Ces chants, loin d’être que des offrandes pour une jubilation, s’érigent aussi comme des stèles où viennent en pèlerinage tous les sentiments du poète, à l’instar de la mélancolie. Cette œuvre, d’une poésie sacrée et sensible, et d’un lyrisme aussi profond, est quête d’une spiritualité africaine perdue, dialogue avec l’être aimé, miroir pour toute femme.
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Choix, Conviction et Destin (Mamoudou Ali)
3 500 CFAAjouter au panierLe choix du métier, un déchirement sans fin,
Pour la femme qui veut concilier tant de destins.
D’un côté, la carrière et ses défis passionnants,
De l’autre, la famille, son amour réconfortant.
Comment choisir sa voie, quand tout semble s’opposer ?
Ambition professionnelle ou dévouement maternel ?
Épouse attentive ou employée exemplaire ?
Dilemme cornélien qui ne laisse aucun répit.
Car la société attend beaucoup de la femme moderne,
Qu’elle soit accomplie sur tous les plans, sans entrave,
Qu’elle brille au travail, qu’elle rayonne au foyer,
Qu’elle soit une super maman, sans jamais faiblir.
Extrait du poème ‘’Le choix du travail chez la femme’’
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Cocoricos (Dieu-donné GNANCADJA)
2 500 CFAAjouter au panier« Dans Cocoricos, Dieu-donné GNANCADJA nous fait grâce de sa plume si douce, si poignante, si rêveuse, si chargée d’émotions. C’est la poésie elle-même qui prend forme et la muse au ballet des caresses s’est mouillée sur le lit où le poète est toujours fécond. Je vous invite à table. C’est bien garni. La poésie s’est réveillée. Comme les lamantins vont boire à la source, il a bu à la source et il est devenu source. Venez boire à sa source pour être source car, après avoir bu à la source de la poésie, on n’a plus jamais soif. » (Extrait de la Préface)
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Islam et Spiritualité (Salifou MALLE)
3 000 CFAAjouter au panierL’Islam, mon auguste religion de paix,
Ma limpide religion qui loue le pacifisme,
Ma douce religion qui bonifie la fraternité,
Ma douce brise du soir pleine de bonté.
Dénigrée à travers le temps par des prôneurs,
Ces faux artisans de paix,
Rejetée par des critiques mensongères,
Insultée, dénigrée par des inconscients
Dont l’ignorance de l’esprit reste inculte,
Aveugle, sans voir que c’est une religion de conscience
Qui inspire entre les humains la confiance
Et éduque la vérité de ses sciences.
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La main noire au sommet du fleuve (Florent AÏKPE et Xavier ZATO)
3 000 CFAAjouter au panier« Ce serait une erreur de ne pas parcourir une œuvre aussi magnifique où beauté et qualité littéraire se fondent parfaitement en symbiose.Dès l’entame de la première strophe du premier poème de ce recueil, il serait difficile de ne pas ressentir les cheveux se dresser ! Rien que par sa forme, cette strophe est une richesse. », écrit Ndey-Ane SENE (PDG des Editions Baobab au Sénégal). -
Les Berceuses nourricières (Justin Akomonla AGBOSSOU)
3 000 CFAAjouter au panierIl souffle un vent nouveau
Sur les cités, de joie, de tristesse
D’une allure ivre et sans cesse
Qui fait flotter les drapeaux.
(Écoute, poète)
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Les Éloges (Justin Akomonla AGBOSSOU)
3 000 CFAAjouter au panier« Justin Akomonla AGBOSSOU est ce poète qui n’a ménagé aucun effort dans le rebondissement du sens de l’humanité dans ces poèmes. Dès la naissance jusqu’au dernier souffle d’un être humain, de maintes choses se passent et lancent de douces et amères entailles au cœur. Et quand les bonnes actions et les bonnes grâces des autres ont été un levier pour soi, on est en droit et surtout en devoir, dépourvu de l’ego, d’être reconnaissant. » (Extrait de la Préface de Xavier ZATO)
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Les nuits du poète (Issifou TOUSSOUERE)
2 500 CFAAjouter au panier« Pour un meilleur lendemain,
Voici un écritoire dans ma main.La thérapie mots pour maux,
Sur une planète de faux,
Avec des humains semblables aux animaux,
Dotés de cerveaux connectés aux réseaux,
N’a vraiment rien apporté de nouveau. »Poète Noir
Enseignant, poète et modérateur de clubs d’anglais, Issifou TOUSSOUERE est Béninois d’origine malienne.
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Les obsèques de l’humanisme (Emmanuelle Princesse TSOKINI)
7 000 CFAAjouter au panierLes obsèques de l’humanisme est une alarme à l’humanisme. Il éveille la conscience de l’humanité qui assiste à la mort de l’humanisme sans pourtant lever un petit doigt. Cet ouvrage est également une balade entre le chagrin d’un amour enterré et l’espoir de voir le monde respirer de nouveau l’air de l’amour, de l’unité et de la solidarité. D’où la renaissance de l’humanisme.
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Les perles de sa hanche (Florent AÏKPE)
3 000 CFAAjouter au panier« Comme le disait l’autre : « De l’amour, encore l’amour et toujours l’amour ». D’un amour pour une « Princesse africaine » ou pour une certaine « Hélène » à un amour épuré pour la nature et ses mille et une merveilles, « Les perles de sa hanche » est un théâtre poétique sur lequel s’observe un ballet affriolant de sentiments et d’émotions. Le titre à lui seul constitue d’abord le témoignage d’une imagination qui unifie, dans une approche de complémentarité indéniable, extravagance et audace. À sa découverte, on est sans doute tenté de classer l’auteur, sans autre forme de procès, dans la sombre catégorie d’écrivains lubriques qui vouent un culte à la chose érotique, mieux, aux actes luxurieux. Mais, Les perles de sa hanche n’en est rien ! Le contenu nous oppose en effet à une définition nouvelle de l’amour, cet être qui « nous fait voir tout en rose ». La voix des métaphores escortées par le chant rythmé des comparaisons, allégories et autres jeux de langue laisse percevoir l’évidence comme une réalité jamais connue », Aubin Womi KAKPO
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Ma Plume de Miel (Salifou MALLE)
3 000 CFAAjouter au panierL’amour, une sensation remplie
De bonheur et de malheur ;
Aimer, c’est vivre la peur de perdre,
Cette peur qui amplifie l’amour ou le ronge ;
L’amour nous rend plus fort ;
Plus fort que la peur, il réconforte.
Cette sensation qui rend les faibles forts,
Les savants poètes,
Les lecteurs écrivains,
Les écrivains passionnés.
(L’amour est un sentiment)
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Ombres et vibrations (Mèdétonwan Abel HOUNNOU)
3 000 CFAAjouter au panierUne œuvre poétique destinée à la jeunesse, ayant pour objectif de briser les stéréotypes sexistes et d’insuffler de l’espoir aux cœurs meurtris par la mort, les guerres, la pauvreté, etc. L’auteur, en tant qu’observateur averti de la société, aborde les problèmes sociaux contemporains tels que les grossesses en milieu scolaire, la dépigmentation, la cybercriminalité.
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Peines et Perles (Folyombo IDANI)
3 000 CFAAjouter au panierCiel jadis bleu et éblouissant
Où régnaient la quiétude et l’amour ;
Désormais sombre et menaçant
Où rodent les vautours.
C’est bien cette Afrique à l’hospitalité légendaire
Qui est devenue plutôt un no man’s land suicidaire
Où l’on accueille mieux les barbares ou mieux les migrants
Depuis que les violences montent d’un cran.
La tolérance est morte dans les bras de Lucie
Car la barbarie n’a pu laisser l’homme Lucifer,
Et ses disciples prennent le dessus sur terre.
Afrique, berceau de l’humanité ou tombeau de celle-ci ?
La terre d’hospitalité est désormais hospitalisée
Et la chaleureuse calebasse d’accueil
Est vite remplacée par des coups de hache.
La victime finit brutalisée ou dans un cercueil
Et c’est vraiment un comportement lâche.
(Extrait du poème ‘’Afrique’’)
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Seigneurs et Saigneurs (Womi Aubin KAKPO)
2 500 CFAAjouter au panier« Il venait de sortir de la forêt narre-art-action*, le bas du pantalon aussi humide que le bout du nez d’un chien.Guidé par l’errance de l’oisiveté ou peut-être par l’appel sourd de la verve, avec une mine ridée comme sous l’emprise d’une répugnance, il extirpa une plume de son nid douillet.Il voulait écrire sur la surface plate de l’eau, aujourd’hui aussi silencieuse que les vagues passaient inaperçues.Il emprunta en toute révérence une feuille au fromager qui s’assécha aussi spontanément qu’une étoile filante s’éteint.Il allait demander aux pachydermes de dresser leurs papillons afin qu’il appose ses marques de griffes quand le vent, sous son air insolent, prétentieux et prenant la liberté pour acquis exclusif, lui arracha sa plume. » -
Silence d’ici, silence d’ailleurs (Florent AÏKPE)
3 000 CFAAjouter au panier« Lire ce livre, c’est entreprendre un voyage personnel à la quête de soi. Vous vivrez de réelles sensations dans cet ouvrage qui a déjà préparé vos bagages. Pourquoi vous parler encore plus quand les mots vous tendent déjà les bras ? Voyagez. Voyagez. », a écrit Corneille KOMEDJA.