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Les perles de sa hanche (Florent AÏKPE)
3 000 CFA
« Comme le disait l’autre : « De l’amour, encore l’amour et toujours l’amour ». D’un amour pour une « Princesse africaine » ou pour une certaine « Hélène » à un amour épuré pour la nature et ses mille et une merveilles, « Les perles de sa hanche » est un théâtre poétique sur lequel s’observe un ballet affriolant de sentiments et d’émotions. Le titre à lui seul constitue d’abord le témoignage d’une imagination qui unifie, dans une approche de complémentarité indéniable, extravagance et audace. À sa découverte, on est sans doute tenté de classer l’auteur, sans autre forme de procès, dans la sombre catégorie d’écrivains lubriques qui vouent un culte à la chose érotique, mieux, aux actes luxurieux. Mais, Les perles de sa hanche n’en est rien ! Le contenu nous oppose en effet à une définition nouvelle de l’amour, cet être qui « nous fait voir tout en rose ». La voix des métaphores escortées par le chant rythmé des comparaisons, allégories et autres jeux de langue laisse percevoir l’évidence comme une réalité jamais connue », Aubin Womi KAKPO
« Comme le disait l’autre : « De l’amour, encore l’amour et toujours l’amour ». D’un amour pour une « Princesse africaine » ou pour une certaine « Hélène » à un amour épuré pour la nature et ses mille et une merveilles, Les perles de sa hanche est un théâtre poétique sur lequel s’observe un ballet affriolant de sentiments et d’émotions. Le titre à lui seul constitue d’abord le témoignage d’une imagination qui unifie, dans une approche de complémentarité indéniable, extravagance et audace. À sa découverte, on est sans doute tenté de classer l’auteur, sans autre forme de procès, dans la sombre catégorie d’écrivains lubriques qui vouent un culte à la chose érotique, mieux, aux actes luxurieux. Mais, « Les perles de sa hanche » n’en est rien ! Le contenu nous oppose en effet à une définition nouvelle de l’amour, cet être qui « nous fait voir tout en rose ». La voix des métaphores escortées par le chant rythmé des comparaisons, allégories et autres jeux de langue laisse percevoir l’évidence comme une réalité jamais connue », Aubin Womi KAKPO
«… Florent AÏKPE tient pour leitmotiv dans ce recueil, la cadence de l’amour qui vous bascule par de-là tout. Hormis pudeur et regard collimateur, il ose, depuis cette aurore de sa création littéraire, chanter la créature féminine. Ils se font rares aujourd’hui, ces plumistes animés de sincères voluptés qui magnifient dans toute sa plénitude la silhouette féerique qui depuis Ève bonifie le genre masculin. Florent s’inscrit donc à ses débuts, dans ces figures iconoclastement* sentimentalistes du siècle présent. À la lecture de ce recueil, j’ai eu beaucoup de coups de foudre de l’amour tant soignés par Florent AÏKPE avec une sphère teintée d’étoiles et de verdures. Des talents ; en lisant, on en découvre qui vous séduisent pas par l’extravagance mais par la manie de la simplicité. J’avoue qu’en lisant ce manuscrit, dans une après-midi mouvementée par la chaleur saisonnière, mon front perlait du liquide salé, tant la lecture sollicitait plus d’attention et de concentration. Des textes qui convoquent rudement l’éveil de tous les sens du lecteur. Avec distraction, le livre ne serait pas lu et compris pour être apprécié à sa juste valeur. Tant les textes me chevauchaient la cervelle et les vers évoluent en une sorte de synergie où l’un a besoin du suivant ou du précédent pour être cerné. J’ai lu ce manuscrit le spasme à mon for intérieur, sentant mon esprit au seuil de l’évasion tant les surprises me surprenaient. Des images poétiques, merveilleusement arquées, une expression tendrement cadencée soutenue par une relativité idiosyncrasique. Du lyrisme, il y en a. Le rythme aussi », Fréjus AVOLONTO
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2 500 CFAAjouter au panier« Dans Cocoricos, Dieu-donné GNANCADJA nous fait grâce de sa plume si douce, si poignante, si rêveuse, si chargée d’émotions. C’est la poésie elle-même qui prend forme et la muse au ballet des caresses s’est mouillée sur le lit où le poète est toujours fécond. Je vous invite à table. C’est bien garni. La poésie s’est réveillée. Comme les lamantins vont boire à la source, il a bu à la source et il est devenu source. Venez boire à sa source pour être source car, après avoir bu à la source de la poésie, on n’a plus jamais soif. » (Extrait de la Préface)
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Seigneurs et Saigneurs (Womi Aubin KAKPO)
2 500 CFAAjouter au panier« Il venait de sortir de la forêt narre-art-action*, le bas du pantalon aussi humide que le bout du nez d’un chien.Guidé par l’errance de l’oisiveté ou peut-être par l’appel sourd de la verve, avec une mine ridée comme sous l’emprise d’une répugnance, il extirpa une plume de son nid douillet.Il voulait écrire sur la surface plate de l’eau, aujourd’hui aussi silencieuse que les vagues passaient inaperçues.Il emprunta en toute révérence une feuille au fromager qui s’assécha aussi spontanément qu’une étoile filante s’éteint.Il allait demander aux pachydermes de dresser leurs papillons afin qu’il appose ses marques de griffes quand le vent, sous son air insolent, prétentieux et prenant la liberté pour acquis exclusif, lui arracha sa plume. » -
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Dénigrée à travers le temps par des prôneurs,
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Insultée, dénigrée par des inconscients
Dont l’ignorance de l’esprit reste inculte,
Aveugle, sans voir que c’est une religion de conscience
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5 000 CFAAjouter au panierComme l’indique son titre, d’ailleurs clé pour ouvrir son mystère, « Chants pour une fleur » est un ouvrage greffé d’une musique rythmique où chaque mot qui roucoule tantôt comme une rivière tantôt comme un tam-tam ou une kora, confère aux cœurs la merveilleuse des émotions. Ici, Alvie Mouzita, ayant su que la femme est la source intarissable où s’abreuvent les inspirations perlières, s’est donc fait griot pour la psalmodier. Ces chants, loin d’être que des offrandes pour une jubilation, s’érigent aussi comme des stèles où viennent en pèlerinage tous les sentiments du poète, à l’instar de la mélancolie. Cette œuvre, d’une poésie sacrée et sensible, et d’un lyrisme aussi profond, est quête d’une spiritualité africaine perdue, dialogue avec l’être aimé, miroir pour toute femme.
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