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Le Canon d’un rebelle, le Tchad une autre fois (Mahamat Ali Fouat Aboubakar)
5 000 CFA
La première mission de la rébellion avait été un raid nocturne contre une base gouvernementale. Issa avait ressenti une montée d’adrénaline alors qu’il se tenait aux côtés de ses camarades, l’obscurité les enveloppant tandis qu’ils s’approchaient furtivement de leur cible. Leur succès ce soir-là avait été une étincelle d’espoir pour eux tous, un signe que leur cause était juste, que la rébellion avait le potentiel de faire bouger les choses dans ce pays déchiré par la guerre.
La première mission de la rébellion avait été un raid nocturne contre une base gouvernementale. Issa avait ressenti une montée d’adrénaline alors qu’il se tenait aux côtés de ses camarades, l’obscurité les enveloppant tandis qu’ils s’approchaient furtivement de leur cible. Leur succès ce soir-là avait été une étincelle d’espoir pour eux tous, un signe que leur cause était juste, que la rébellion avait le potentiel de faire bouger les choses dans ce pays déchiré par la guerre.
Mahamat Ali Fouat Aboubakar, né le 10 janvier 2004 à N’Djamena, poursuit actuellement ses études en génie informatique à l’Institut National Supérieur de Sciences et Techniques d’Abéché (INSTA). Ayant fréquenté l’école Salamat et le Lycée Bilingue Hissein Mahamat Itno d’Abéché (LBHMI), son parcours académique témoigne de sa passion constante pour l’informatique. En plus de son amour pour les lettres, il publie ce premier roman intitulé « Le Canon d’un rebelle, le Tchad une autre fois » afin de marquer son engagement littéraire.
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Le chemin (Assandé Franck DIBY)
5 000 CFAAjouter au panier« Le chemin » est une œuvre romanesque où l’auteur, à travers des récits en prose et en vers, tente de répondre à la problématique de comment tracer son chemin vers la réussite. Tout le monde aspire à la réussite, mais les chemins pour y parvenir diffèrent. Pour certains, le chemin semble déjà tracé, tandis que d’autres doivent le créer en surmontant les difficultés qui se présentent.
Le tracé du chemin vers la réussite d’Assemi et de ses frères n’a pas été facile. Chacun a dû affronter une avalanche de difficultés dans une société où la corruption, la jalousie, la méchanceté, la sorcellerie et le manque de soutien financier sont monnaie courante. Le courage, la détermination, l’ingéniosité et la persévérance dans un travail acharné ont été les outils dont ils disposaient pour tracer leur chemin et changer le cours de leur vie. Naître dans la pauvreté n’est pas de notre ressort, mais mourir ou en sortir relève de notre responsabilité. -
Entre les mains du destin (Yezid Adjao Olatoundji LADJOUAN)
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Les Ingrats (Thomas Djibril FAYE)
5 000 CFAAjouter au panierIl a perdu toute sa richesse suite à la longue sécheresse qui s’était abattue sur le village. Sa maison n’est plus le théâtre des discussions amicales pendant lesquelles il partageait ses repas, jadis délicieux et bien garnis. C’est désormais entre sa petite famille et son loyal ami Ndelɓé que cette messe s’anime. En ce qui concerne son bétail, on ne compte plus que cinq bœufs et quelques moutons dans son enclos. Ses chevaux et ses ânes avaient été vendus. Il ne lui restait qu’une jument et un âne pour les travaux champêtres. L’ingratitude : voilà ce qui caractérise la majorité des personnes de nos sociétés actuelles et Dioumacor a finalement compris la réaction des habitants de son village puisqu’ils l’appellent maintenant « O ndool o ngué », c’est-à-dire « Le pauvre malheureux ». Le mari de Ndew, assez sage pour contrôler sa colère, ne répond plus aux paroles stériles de ces mécréants qui ne vivent que pour des intérêts.
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Retour de la manivelle (Abdoul Bariou DAKIN)
3 000 CFAAjouter au panierAli marchait toujours. Ici, il maugréait des injures avalées dans le brouhaha des engins qui encombraient la ruelle, indéchiffrables. C’était un véhicule qui avait manqué de lui arracher la côte. Sans prêter attention à ce chauffard, il poursuivit sa marche fatidique. Cela faisait déjà deux heures qu’il marchait, et il savait qu’il n’était qu’à mi-chemin de cette belle aurore. Il avançait toujours, imperturbable. Finalement, il mit quatre heures pour arriver au CSP Ecodi de Niamey.
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